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  • Photo du rédacteurCharles CROUZAT

Soigner le travail, pour des Hommes en bonne santé



« Les programmes orientés uniquement sur le bien-être des individus comme sur l’entreprise » peuvent présenter des effets « plus que limités, temporaires, voir inexistants » sur la qualité de vie au travail. C’est ce que nous apprennent les premiers résultats d’une étude menée par l’Université de l’Illinois sur des programmes de Wellness at work (2018), rapporté par Stéphanie Chasserio.*


« Il essentiel de se rappeler que la qualité de vie au travail passe par la qualité du travail et de ses conditions d’exécution (moyens, ressources, management). C’est en agissant sur les paramètres du travail (contenu, tâches, sens…) et de son organisation (support social, reconnaissance…) qu’une démarche bien-être et QVT prend tout son sens et peut déployer ses effets.


La réflexion et les actions doivent cibler le cœur même du travail et de son organisation. […] la cible est bien le travail lui-même et ses conditions d’exécution. » Cette vision est au cœur de la clinique de l’activité**, pratiquée par les psychologues du travail cliniciens de l'activité. Ils peuvent vous accompagner à faire évoluer la qualité du travail et ses conditions d’exécutions, en favorisant par exemple ce qui ressemble à des groupes de bonnes pratiques autour des différentes composantes métiers.



** Courant d'Yves Clot, ancien titulaire de la chaire de Psychologie du Travail du CNAM


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