Les thérapies brèves sont des thérapies qui permettent l’atteinte de résultats rapidement, entre 1 à 10 séances. Le secret ? Il repose principalement sur la responsabilisation du patient/client, et une série de techniques et posture que possède le praticien qui facilite le développement des ressources intra-psychiques chez le client.
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Différents accompagnements rentrent dans la catégorie des thérapies brèves. On y trouve les TCC, la PNL, le coaching-thérapeutique, l’hypnose.
On oppose une thérapie brève à une thérapie longue. La thérapie longue peut durer quelques années. Là où la thérapie brève dure dans la pratique principalement entre 3 à 5 séances. Dans certains cas en une séance les symptômes d’un traumatisme, d’une dépendance ou d’une peur peuvent disparaitre. Attention cependant à arrêter trop vite une thérapie brève. Quelques séances supplémentaires sont parfois importantes pour ancrer le nouvel apprentissage. A l’image d’un vaccin, le rappel que l’on fait quelques mois plus tard, permet d’ancrer dans la mémoire cellulaire le nouveau comportement de façon plus durable.
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Pourquoi et comment choisir une thérapie brève ?
Tout depend de votre objectif.
A mon sens, les thérapies brèves sont plus intéressantes que les thérapies longues, parce que :
1) bien que généralement plus couteuses à la séance (entre 80 à 150€/h), l’investissement est moindre dans la durée,
2) elles mettent le client/patient face à ses responsabilités,
3) elles évitent le risque de dépendance entre le patient/client et le praticien.
Cependant dans le cas de certains troubles comme : la dépression, elles peuvent être limitées, mais peut-être pas inintéressantes pour autant.
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Attention à la dépendance avec son praticien dans le cas d'une thérapie longue
Dans tous les cas, que l’on choisisse une thérapie longue ou courte, il faut rester vigilant à la dépendance entre un praticien et le client/patient. Cette dépendance à plus de chance à se "noyer" dans le cas d'une thérapie longue et régulière (hebdomadaire). Dans certains cas bien particulier, une dépendance temporaire peut-être utile, dans le cadre d'un travail plutôt psychanalytique, comme pour re-narcissiser et renforcer l'égo si celui-ci est trop faible. Autrement, le psychothérapeute ne devrait pas devenir une béquille permanente. Si c'est le cas, je vous conseille alors de changer de praticien. Le coût d'une séance peut vous protéger de cela.
© Charles CROUZAT - Psychologue - Psychanalyste - Lille & Villeneuve d'Ascq - Coach professionnel
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